Saint-Hyacinthe, le 5 avril 2024 – Lors de la rencontre du conseil d’administration de la Régie intermunicipale d’Acton et des Maskoutains, tenue le 27 mars, le directeur général, M. Réjean Pion, a procédé au dépôt du bilan annuel de l’organisme, lequel est disponible sur le site Internet de la Régie au www.riam.quebec. Bien que le travail se soit majoritairement effectué dans l’ombre, c’est au cours de cette année que se sont écrites les règles et les normes qui encadreront la modernisation de la collecte sélective, processus dans lequel le directeur général de la Régie, monsieur Pion, a été activement impliqué et qui changera définitivement la gestion des matières recyclables.
De plus, en 2023, la Régie a battu tous les records au niveau du nombre d’usagers qui se sont présentés aux écocentres, avec un total de 23 668 usagers comparativement à 20 407 en 2022. Il importe de mentionner que 81 % des matières apportées aux écocentres (80 % en 2022) ont été acheminées vers des ressources de valorisation plutôt que vers l’enfouissement.
Finalement, en ce qui concerne le volet Information, sensibilisation et éducation, a été au cœur des priorité de la Régie qui a embauché une nouvelle ressource au printemps 2023. La venue de celle-ci au sein de l’équipe a permis de favoriser un retour à la normale, notamment avec l’Équipe verte qui a repris ses activités, lesquelles avaient été suspendues depuis la pandémie. L’année 2023 aura également marqué la reprise régulière des ateliers éducatifs en milieu scolaire et du support offert aux gestionnaires d’industries, commerces et institutions fournis par la coordonnatrice de ce volet, activités qui avaient également été suspendues au cours des dernières années, dans le contexte tumultueux auquel nous avons collectivement dû faire face.
La sensibilisation et l’information sont et demeurent des priorités pour la Régie et à ce titre, l’année 2023 aura été un moment charnière pour relancer le rythme de croisière de ce service, afin de maintenir le citoyen au cœur de l’action. En effet, il ne faut jamais perdre de vue que la gestion des matières résiduelles c’est d’abord et avant tout, une responsabilité collective et que sans l’appui de toute la population, les performances régionales ne pourraient jamais être aussi significatives.